L’écrivain syrien Zakaria Tamer dans une de ses nouvelles avait inventé un mythe sur la fondation de Damas.
Elle parle d‘un pêcheur malchanceux qui ne trouve point de poisson. Ayant assez de la mer qui s‘était avérée si radine à son égard, il désire s’établir aussi loin d’elle que possible. Il part alors et au milieu du désert et il fonde la ville de Damas sur sept collines, près d’une oasis. Malgré l’absence de la mer, cette ville devint si magnifique, dit Zakariyya Tamer à la fin de sa nouvelle, qu’aucun homme y ayant mis le pied ne pourrait jamais l’oublier et rêvera, pendant toute sa vie, y retourner. Ceci est vrai et non seulement pour Damas mais pour toute la Syrie.
Après avoir vécu presque deux ans en Syrie pour apprendre l’arabe et pour faire des recherches sur l’art arabe médiéval, comme tant d’autres ayant visité ce pays, je sens qu’une partie de moi y restera pour toujours. En parlant de la Syrie, j’ai envie d’exprimer de façon aussi simple que possible ce qu’elle m’a donné, comment a-t-elle façonné mon regard sur les rapports entre humains, sur l’espace, sur le temps et sur la vie en général. Pourtant, ce n’est pas une tâche facile et c’est pour cela que j’ai choisi d’en parler par des images.
Depuis ces deux dernières années j’expose mes peintures régulièrement et j’ai choisi pour thématique de plusieurs expositions des sujets liés à mes expériences esthétique que j’ai obtenues grâce à mon séjour en Syrie.
Aujourd’hui, c’est la guerre, des milliers de morts et de blessés et un régime inhumain qui nous oblige à parler de ce qui est en danger : des vies humaines et des patrimoine historiques extrêmement riche, une grande partie du passé de l’humanité entière et le futur d’un peuple entier.
L’histoire de Nadia et Saïd est un conte dont les personnages et les événements sont fictifs, même si certains détails s‘inspirent de la réalité. Elle se déroule dans le futur : une grand-mère raconte une histoire à sa petite-fille ayant eu lieu dans la Syrie et le Paris d’aujourd’hui. Le récit est à la fois raconté par le texte et les images : par l’assemblage de la bande dessinée et de l’histoire illustrée. Puisqu‘il s’agit d’un conte, et pas d’une analyse politique de la situation actuelle, la description des événements, de leurs causes et de leurs conséquences est fortement simplifiée. Il s’agit des impressions personnelles dont cette mise en forme a pour but de sensibiliser les gens à ce qui est en train de se passer en Syrie depuis ces deux dernières années.
Elle parle d‘un pêcheur malchanceux qui ne trouve point de poisson. Ayant assez de la mer qui s‘était avérée si radine à son égard, il désire s’établir aussi loin d’elle que possible. Il part alors et au milieu du désert et il fonde la ville de Damas sur sept collines, près d’une oasis. Malgré l’absence de la mer, cette ville devint si magnifique, dit Zakariyya Tamer à la fin de sa nouvelle, qu’aucun homme y ayant mis le pied ne pourrait jamais l’oublier et rêvera, pendant toute sa vie, y retourner. Ceci est vrai et non seulement pour Damas mais pour toute la Syrie.
Après avoir vécu presque deux ans en Syrie pour apprendre l’arabe et pour faire des recherches sur l’art arabe médiéval, comme tant d’autres ayant visité ce pays, je sens qu’une partie de moi y restera pour toujours. En parlant de la Syrie, j’ai envie d’exprimer de façon aussi simple que possible ce qu’elle m’a donné, comment a-t-elle façonné mon regard sur les rapports entre humains, sur l’espace, sur le temps et sur la vie en général. Pourtant, ce n’est pas une tâche facile et c’est pour cela que j’ai choisi d’en parler par des images.
Depuis ces deux dernières années j’expose mes peintures régulièrement et j’ai choisi pour thématique de plusieurs expositions des sujets liés à mes expériences esthétique que j’ai obtenues grâce à mon séjour en Syrie.
Aujourd’hui, c’est la guerre, des milliers de morts et de blessés et un régime inhumain qui nous oblige à parler de ce qui est en danger : des vies humaines et des patrimoine historiques extrêmement riche, une grande partie du passé de l’humanité entière et le futur d’un peuple entier.
L’histoire de Nadia et Saïd est un conte dont les personnages et les événements sont fictifs, même si certains détails s‘inspirent de la réalité. Elle se déroule dans le futur : une grand-mère raconte une histoire à sa petite-fille ayant eu lieu dans la Syrie et le Paris d’aujourd’hui. Le récit est à la fois raconté par le texte et les images : par l’assemblage de la bande dessinée et de l’histoire illustrée. Puisqu‘il s’agit d’un conte, et pas d’une analyse politique de la situation actuelle, la description des événements, de leurs causes et de leurs conséquences est fortement simplifiée. Il s’agit des impressions personnelles dont cette mise en forme a pour but de sensibiliser les gens à ce qui est en train de se passer en Syrie depuis ces deux dernières années.